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Face à Beaubourg, un immeuble est en réfection. Côté piazza la bâche qui le couvre représente l'immeuble caché comme un dessin à l'aquarelle. De l'autre côté rue Saint-Martin, un immense iPhone, tenu dans une main, se détache en bas de la bâche sur un fond blanc.
Affiche géante pour l'iPhone sur une bâche de travaux près du Centre Pompidou
Discrètement écrit sous le dessin de l'iPad la mention "cet affichage contribue au financement de la restauration de l'immeuble" est une excuse économique pour cette agression publicitaire.
Bâche de travaux décorée d'un dessin à l'aquarelle face au Centre Pompidou
Au moins l'immeuble de la piazza Beaubourg qui abrite le café Costes en rez-de-chaussé n'est pas classé monument historique comme le Louvre ou l'Opéra de Paris. Ces monuments historiques ont été défigurés par des affiches géantes vantant des montres de luxe, des parfums, des vêtements ou des boissons énergisantes.
Bâche de travaux décorée d'un dessin à l'aquarelle sur la piazza Beaubourg
devant Horizontal, le mobile-stabile de Calder
La publicité Apple, assez élégante il faut le reconnaître, est très efficace à cet emplacement précieux car la piazza Beaubourg est parcouru chaque jour par des milliers de visiteurs, parisiens et touristes.
Bâche de travaux décorée d'un dessin à l'aquarelle sur la piazza Beaubourg
au rez-de-chaussé le café Coste
Affiche géante pour l'iPhone sur une bâche de travaux près du Centre Pompidou
Affiche géante pour l'iPad 2 sur une bâche de travaux rue de Passy
Liens sur ce blog:
Des iPhones géants quai des Orfèvres, bâche de travaux publicitaire
Publicité géante: un iPad monumental sur le Palais de Justice de Paris
L'agression publicitaire sur les Monuments historiques en bord de Seine: Dior, Bréguet et Burberry
Chanel, bâche publicitaire géante sur le Musée d'Orsay
Encore des bâches publicitaires géantes sur les monuments classés: Volvo et Ralph Lauren à l'Opéra
Air France, La bâche publicitaire géante sur le Grand Palais, monument classé
Palagret
l'agression publicitaire
avril 2012
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Plusieurs créateurs de mode ont fait appel à des plasticiens pour élaborer leurs monstres de mode pour la parade de la Gaîté lyrique. Walter van Beirendonck a collaboré avec Erwin Wurm connu pour ses personnages bousoufflés.
Walking sculpture cloud 9, Walter van Beirendonck en collaboration avec Erwin Wurm
Arrrgh! Monstres de mode, Gaîté lyrique
Walking sculpture cloud 9, Walter van Beirendonck en collaboration avec Erwin Wurm
Arrrgh! Monstres de mode, Gaîté lyrique
Walking sculpture cloud 9, Walter van Beirendonck en collaboration avec Erwin Wurm
Arrrgh! Monstres de mode, Gaîté lyrique
Craig Green, sculpture en collaboration avec David Curtis-Ring, 2013
Arrrgh! Monstres de mode, Gaîté lyrique
De nombreux modèles réalisés par des créateurs de mode hésitent entre sculpture, costume et cosplay.
1- Chi He, Oh my dog 2011. 2- Alexis Themistocleous, Freaks 2011.
3- Pierre-Antoine Vettorello, Bonnie Magnum vs Samantha Beretta 2009.
4- Bas Koster, Coeur 2007.
Arrrgh! Monstres de mode, Gaîté lyrique
Arrrgh ! Monstres de Mode
Gaîté Lyrique, 3 bis rue Papin, 75003
Mardi-samedi : 14h-20h. Dimanche : 14h-18h
du 13 février au 7 avril 2013
Mareunrol's nightmares 2006, Walter van Beirendonck sex clown 2006
Arrrgh! Monstres de mode, Gaîté lyrique
Liens sur ce blog:
Arrrgh! Monstres de mode, parade barbare et ludique à la Gaité Lyrique
Les maîtres du désordre: costumes des fêtes d'hiver, suspension de l'ordre cosmique
Palagret
mode monstrueuse
avril 2013
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Fred Le Chevalier continue ses collages, de plus en plus grands. Voici une fresque vue au croisement de la rue Oberkampf et de l'avenue Jean Aicard à Paris. Les collages se situent sous un mur peint d'Hervé Télémaque.
Papier collé découpé de Fred Le Chevalier, street-art quartier Oberkampf
Des visages arbres dessinés en noir et blanc et un couple aux lèvres rouges.
Fresque de papiers collés découpés de Fred Le Chevalier
au-dessus un mur peint d'Hervé Télémaque
street-art quartier Oberkampf
Papiers collés découpés de Fred Le Chevalier, street-art quartier Oberkampf
"j'irai vers, le reste est indécence", papier collé découpé de Fred Le Chevalier, street-art quartier Oberkampf
Papiers collés découpés sur ce blog:
Fred le Chevalier, dessins voyageurs et métamorphoses
Fred Le Chevalier voit grand, ses papiers collés colonisent le marais
Tristan des Limbes, des collages dépressifs, street-art
Street-art: THTF, papiers collés grand format
Palagret
street-art
avril 2013
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A Termessos, un petit village d'Anatolie centrale, des sarcophages vides à demi brisés sont éparpillés au milieu des champs. Ils proviennent des ruines d'une cité romaine qu'un tremblement de terre détruisit en partie au IVè ou Vè siècle. L'aqueduc écroulé signa la mort de la cité; les survivants s'en allèrent.
Nécropole de Termessos en Pamphilie. Sarcophages ouvertsLes sarcophages de la nécropole romaine de Termessos glissèrent du haut de la colline et s'ouvrirent sous le choc, exposant les morts à l'air libre. Il ne reste bien sûr plus aucun squelette aujourd'hui. Au cours des siècles, les paysans ont réemployés les pierres pour construire leur maison ou borner leur champ. D'autres sarcophages sont restés empilés en tas naturels.Nécropole de Termessos en Pamphilie. Sarcophage avec couvercle. On y distingue une nymphe sur un triton et une tête de lionLe Professeur Pierre-Epaminondas Boncam avait fait des fouilles à Termessos au printemps 1983: "Je m'étais interrogé sur ces cercueils de pierre éparpillés dans les bois et les champs. Les couvercles manquants avaient été réemployés tout au long des siècles par les habitants des villages environnants. On retrouvait des linteaux, des pièces sculptées de chrème, des chapiteaux dans les murets qui clôturaient les parcelles agricoles.Nécropole de Termessos en Pamphilie. Chaos de sarcophages ouverts
A Termessos j'éprouvai une paisible nostalgie devant cette cité disparue. Elle avait été riche et puissante, comptant alors des dizaines de milliers d'habitants avec des temples dont le principal dédié à Zeus Solymeos, un gymnase, un bouleutérion et un amphithéâtre. Tout ce qu'une cité romaine digne de ce nom devait construire pour tenir son rang dans l'empire romain. Vingt-quatre siècles plus tard, Termessos n'était plus qu'un minuscule village.Amphithéâtre de Termessos, au fond le mont SolymosCe jour-là, sous le léger soleil de printemps, un paysan creusait des sillons en contournant les luxueux vestiges de la nécropole romaine. La vie côtoyait paisiblement la mort. Les arbres fruitiers étaient en fleurs et les gosses du village nous observaient en riant, assis sur des linteaux ornés de vigne. Les oliviers poussaient dans l'amphithéâtre soulevant les lourds gradins de pierre. Ces ruines paisibles contrastaient avec les sombres ruines de Pallas 21, une exoplanète que je venais d'explorer."Les aventures du Professeur Boncam:La biographie du Professeur Pierre-Epaminondas Boncam
2- Les fourmis géantes de Pallas 21
3- les Terres calcinées de Pallas
4- Envol vers Pallas 21, planète exo-tellurique
Photo et textes:Palagretarchéologie du futuravril 2013
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RERO en résidence à Beaubourg pour Ex Situ. Voir l'article ici.
Amor, lettres barrées de RERO, ex situ au studio 13/16
Le samedi 13 avril 2013, avec des caractères verdana barrés préparés par RERO, les participants composent des mots sur le thème de la fin et les collent au murs du studio 13/16.
Rero, ex situ à Beaubourg, lettres barrées par PalagretEx Situ
L’art urbain prend ses quartiers au studio 13 /16
13 avril - 16 juin 2013
Rero, du 13 au 21 avril, studio 13/16, niveau -1
RERO signe une lettre verdana barré
Centre Pompidou, Paris
Ouvert de 14h à 18h les mercredis, samedis et dimanches
tous les jours pendant les vacances scolaires, sauf le mardi
DONE, ex situ, atelier de RERO
Liens sur ce blog:
RERO, ex situ à Beaubourg, lettres barrées
Rero à la galerie Backslash: vide de sens ou error 404?
Les ironiques affiches sauvages de Rero, le client suivant
Mark Jenkins, street-art, un théâtre urbain à l'humour surréaliste
mots sur le thème de la fin, lettres barrées de RERO, ex situ au studio 13/16
Palagret
happening et street-art
avril 2013
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? !, ex situ à Beaubourg, atelier de RERO
Do not cross the line, ne franchissez pas la ligne, est inscrit sur l'escalator de Beaubourg. Aujourd'hui RERO et six autres artistes de rue franchissent la ligne qui sépare l'art de la rue du musée. RERO inscrit ironiquement cet avertissement sur la chenille du musée en caractères verdana barré, sa marque de fabrique; la barre met en doute l'affirmation. La phrase ambigüe se voient de loin.
Do not cross the line, intervention de RERO sur l'escalator de Beaubourg
A l'intérieur du centre Pompidou au studio 13/16, RERO inaugure une résidence d'artiste dédiée à l'art urbain. Sur le thème de la fin, les participants sont invités à composer des phrases à partir des lettres fournies par l'artiste puis à les coller sur les murs du studio. Ce n'est pas si facile. Le papier se gondole, la brosse dérape et la colle coule sur la main mais peu à peu les phrases se recouvrent, se répondent et se contredisent, en français et en anglais.
RERO, ex situ, lettres barrées
Le studio 13/16 est réservé aux adolescents mais en ce jour de vernissage il y avait autant d'adultes que de jeunes à jouer avec les lettres pré-découpées. Au plafond, un appareil photo prenait un cliché régulièrement pour garder la trace de cette joyeuse effervescence. Chaque jour RERO choisira un thème différent (cliché, WYSIWYG etc ... ). Voir la video de la performance ici
Proposition de RERO sur le thème de The end (la fin)
Dossier de presse:
À mi-chemin entre art urbain et art conceptuel, le plasticien RERO interroge notre société, et plus particulièrement le statut de l’image et les codes de la propriété intellectuelle à travers un acronyme qui apparaît régulièrement dans ses œuvres : WYSIWYG (What You See Is What You Get). Détournement et autocensure (il barre lui-même d’un trait épais ses propres slogans) sont les maîtres mots de ses recherches sur la négation de l’image.
FINISH, lettres barrées de RERO
Travaillant en extérieur depuis de nombreuses années, Rero investit depuis 2009 l’espace clos du musée ou de la galerie pour en repousser les limites et recréer un lieu privilégié d’interaction avec les autres.
BLADE, lettres barrées de RERO
Le Studio 13 /16 du Centre Pompidou, premier espace dédié aux adolescents dans une grande institution culturelle, présente Ex Situ, une nouvelle programmation consacrée à l’art urbain.
Le terme « Ex situ » désigne une technique de conservation « hors site » c’est-à-dire hors du milieu naturel. Ex situ explore les modes de présentation de l’art urbain hors de son milieu naturel qu’est la rue. Il se développe donc autour de plusieurs axes : respecter les fondamentaux et les codes de l’art urbain, réaliser des créations in situ, entreprendre une réflexion et des interventions en lien avec un espace donné et se confronter au côté éphémère de cet art.
Les murs du studio 13/16 après une après-midi de happening, lettres barrées de RERO
Pour Ex situ, le Studio 13 /16 s’anime au fil des résidences des artistes : RERO, YZ, Ludo, JonOne, OX, Mark Jenkins et Vhils. Sous forme de performances collectives, ils invitent les adolescents à partager leurs processus créatifs et les différentes techniques de l’art urbain en prenant pour support l’espace lui-même : mur, cimaise, sol... au Studio, dans le Forum du Centre Pompidou et sur la Piazza. Ces workshops abordent les différents aspects de l’art urbain : travail in situ, exécution directe devant le public, adaptation au lieu donné, production éphémère...
mots collés, lettres barrées de RERO
Les évènements d'Ex Situ, les éphémères:
Avant chaque résidence, les artistes réalisent des installations à l’intérieur ou à l’extérieur du Centre Pompidou qui mettent en avant l’aspect éphémère de l’art urbain. Grâce à l’architecture du bâtiment qui sera ainsi redécouverte, ces « éphémères » créent une ouverture sur la ville, et rendent visible l’expérience qui se déroule à l’intérieur.
Afin de laisser une trace artistique de l’expérience et des créations réalisées dans le cadre d’Ex situ, chaque cycle donnera lieu à la réalisation d’une courte vidéo. Au total, sept films seront réalisés puis diffusés, sur le site internet du Centre Pompidou et le Facebook du Studio 13/16.
mots collés, lettres barrées de RERO
Le kiosque tour
Ex situ dépasse les murs du Centre Pompidou, le samedi 1er juin, pour investir des kiosques à journaux inexploités de la ville de Paris. Ainsi, sept kiosques à journaux seront rhabillés, repeints ou remodelés, par sept artistes et sept groupes d’adolescents franciliens, donnant lieu à un parcours original d’art urbain au cœur de la capitale. Parisiens, riverains, touristes ou amateurs d’art urbain auront donc l’opportunité d’assister à la création en direct du revêtement des kiosques, de rencontrer des street-artistes de renom, et de dialoguer avec les jeunes auteurs des installations.
Rendez-vous dans la rue, le samedi 1er juin, pour un après-midi « arty » à Paris !
• 122, boulevard Rochechouart, Paris 9e
• 13, boulevard Haussmann, Paris 9e
• 32, bis boulevard Haussmann, Paris 9e
• 75, rue Saint-Lazare, Paris 9e
• 90, avenue Ledru-Rollin, Paris 11e
• 139, avenue Daumesnil, Paris 12e • 20, rue de Lyon, Paris 12e
EX SITU
L’ART URBAIN PREND SES QUARTIERS AU STUDIO 13 /16
13 AVRIL - 16 JUIN 2013
studio 13/16, niveau -1, Centre Pompidou, Paris
Ouvert de 14h à 18h les mercredis, samedis et dimanches
tous les jours pendant les vacances scolaires, sauf le mardi
Rero, du 13 au 21 avril
YZ, du 24 au 29 avril
Ludo, du 2 au 6 mai
JonOne du 8 au 15 mai
0X, du 18 au 26 mai
Vhils du 29 mai au 5 juin
Mark Jenkins du 8 au 16 juin
Liens sur ce blog:
Rero à la galerie Backslash: vide de sens ou error 404?
Les ironiques affiches sauvages de Rero
Mark Jenkins, street-art, un théâtre urbain à l'humour surréaliste
Rero, video d'ex situ à Beaubourg, lettres barrées
Palagret
happening et street-art
avril 2013
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Le Louxor et ses mosaïques de style néo-égyptien datant des années vingt va bientôt s'ouvrir au public. Après de nombreux mois de travaux, le mythique cinéma Louxor est presque prêt. Il reste encore quelques palissades et engins de chantier à l'extérieur; à l'intérieur le palais du cinéma a retrouvé sa splendeur passée ... avec la technologie d'aujourd'hui pour la cabine de projection et l'insonorisation.
Derniers travaux sur la façade du Louxor le 5 avril 2013
Fermé depuis 1988, le cinéma était à l'abandon, couvert d'affiches sauvages et de street-art. Seul le haut du bâtiment était épargné. Une verrue dans le paysage à l'angle des boulevards Barbés et Magenta.
Façade du Louxor avant rénovation
Les documents d'archive ont permis de restituer le décor néo-égyptien intérieur qui avait disparu. Une équipe de onze personnes a peint, soit au pochoir, soit à la main, les frises et les hiéroglyphes fantaisistes qui ornaient le cinéma à son ouverture en 1921.
Mosaïque du Louxor avant rénovation
Le Louxor rouvre ses portes le 18 avril avec trois salles: la grande salle Youssef-Chahine, en hommage au réalisateur égyptien (340 sièges), et deux nouvelles salles creusées sous l'ancienne de 140 et 74 places. Il y aura aussi un café en terrasse. Philippe Pumain, l'architecte de la rénovation espère que «Les spectateurs viendront à la fois voir des films et l’édifice lui-même».
Façade du Louxor après rénovation
Mosaïques restaurées, Le Louxor Palais du cinéma
La verrière du Louxor
Photo de l'ancien Louxor sur la palissade de travaux
Liens sur ce blog:
Cinéma Louxor, mosaïques néo-égyptiennes et affichage sauvage
Street-art: Zoo Project au cinéma Louxor
Affiche pour la réouverture du Louxor, Palais du cinéma, le 18 avril
Palagret
Le vieux Paris
avril 2013
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Un dinosaure près de la Seine? S'agirait-il d'un poisson d'avril tardif? Non, simplement une sculpture de Philippe Pasqua posée sur la plate-forme de la Compagnie des Bateaux-mouches. On s'attend à quelque chose de monumental qui se voit de loin comme les crânes géants de l'artiste.
Tyrannosaurus Rex, sculpture de Philippe Pasqua face à le Tour Eiffel
Le monstre ne se voit pas tout de suite au port de la Conférence près de l'Alma. Il semble plutôt modeste au milieu des bateaux. Long de 7 mètres et haut de quatre mètres et demi il paraît bien petit dans cet environnement.
Tyrannosaurus Rex, dinosaure, sculpture de Philippe Pasqua
Comme les crânes et les papillons, ce monstre préhistorique est une vanité. Espèce disparue, la sculpture de Philippe Pasqua parle de la fragilité de la vie et de l'éphémère, à l'échelle des temps longs. Ce Tyrannosaurus Rex a disparu de la surface de la terre comme, peut-être les humains finiront par disparaître après avoir détruit leur biosphère.
Tyrannosaurus Rex, dinosaure, sculpture de Philippe Pasqua
Fait d'aluminium et de chrome, les 350 os du dinosaure ont été moulés sur un vrai squelette préhistorique. La sculpture avait déjà été exposée dans l'atelier de Philippe Pasqua "The storage" à Saint-Ouen l'Aumône.
Tyrannosaurus Rex, sculpture de Philippe Pasqua vu du pont de l'Alma
Le squelette du Tyrannosaurus Rex métallique ne navigue pas, il reste à quai pour accueillir les touristes qui en ce mois d'avril plutôt froid n'étaient guère nombreux. Attendons le soleil pour voir le dinosaure briller au soleil.
Tyrannosaurus Rex, dinosaure d'aluminium et de chrome, sculpture de Philippe Pasqua
Tyrannosaurus Rex, Philippe Pasqua
Port de la Conférence (rive droite)
Paris VIII
Liens sur ce blog:
Un T-Rex, dinosaure de Philippe Pasqua, des Bateaux-Mouches et des touristes sur la Seine, vidéo
Philippe Pasqua: crâne aux papillons et autres vanités
Vanités de Philippe Pasqua: crânes multicolores aux papillons englués, Art Paris
Palagret
art en plein air
avril 2013
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