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La rotonde du métro Saint-Lazare est aujourd'hui encombrée d'affiches lumineuses à la gloire de produits Dior. Les voyageurs qui se pressent pour rejoindre leur rame sont obligés, à l'heure de pointe, de slalomer entre les panneaux qui réduisent l'espace. Est-ce bien judicieux de transformer la rotonde en terrain de course d'obstacles. Avec 40 millions de voyageurs par an, la station Saint-Lazare est la plus fréquentée du réseau métropolitain après Gare du Nord.
La rotonde Saint-Lazare défigurée et encombrée de publicités Dior
En plus de gêner la circulation, ces réclames agressives détruisent l'harmonie de la rotonde, édifiée en 1912. Jean-Baptiste Berlier, ingénieur de la ligne Nord-Sud, fit appel à l’architecte Lucien Bechmann. Le plafond voûté repose sur huit piliers à chapiteaux habillés de céramiques Art déco de Gentil et Bourdet. La rotonde, style pseudo-gothique et art déco mêlés, témoigne du soin apporté alors à la décoration de cette salle d'échange aujourd'hui au croisement des lignes 12,13 (ancienne ligne B) et 14. Certes les reflets de néon rose, vert et violet sont bien jolis mais ils seraient moins gênants dans la nouvelle rotonde côté rue de Rome. Là, il y a de grands murs vides où la publicité s'étale sous les yeux ébahis de la foule empruntant les escalators.
La rotonde du métro Saint-Lazare de style Art Déco, avant l'invasion de la publicité
Avec les panneaux de publicités, les piliers de céramique sont cachés. Peu importe à la RATP, la rotonde du métro Saint-Lazare, lieu très fréquenté, attise la convoitise des publicitaires. Tant que ça rapporte! Ce n'est pas la première fois, ni la dernière, que la rotonde est ainsi envahie de réclames: H&M en 2013, IPhone 6 en 2015 etc ... Cette rotonde ne devrait-elle pas être classée et protégée des appétits mercantiles?
La rotonde du métro Saint-Lazare (1912), détail du pilier, céramique de Gentil et Bourdet
On peut se demander si les voyageurs ont le temps de regarder les publicités dans la rotonde qu'ils ne font que traverser. Sur les quais, ils attendent donc leur cerveau est disponible aux images et slogans. Mais lorsqu'ils se dépêchent, leur cerveau s'imprègnent-ils quand même du poison? Sommes nous tous contaminés? Probablement.
La rotonde Saint-Lazare défigurée et encombrée de publicités Dior Poison
Le carrefour souterrain de la rotonde Saint-Lazare reproduit celui que l’on trouve en surface, place du Havre. En surface, des jeunes filles distribuent de petits tubes noirs, vaporisateurs échantillons d'eau de parfum Poison Girl de Dior.
A suivre: de la publicité partout ...
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Les quais du métro Concorde sont envahis de publicité pour Zootopie, le nouveau dessin animé de Disney. D'un côté, les murs sont entièrement pelliculés, de l'autre dix écrans digitaux sont dédiés au film. Impossible de ne pas le voir. D'accord, c'est plutôt amusant mais le voyageur n'a-t-il pas droit à un peu de silence visuel?
affiche publicitaire pelliculée pour Zootopie, métro Concorde
Grâce à « DigiMove », une nouvelle technologie, la ville des animaux et ses nombreux personnages s'animent sur les écrans. Quand le métro arrive, détecté par des capteurs infrarouge, "Le métro arrive" s'inscrit puis les animaux se précipitent et se massent devant la rame comme s'ils voulaient y monter. L'éléphant, le renard ou les souris nous regardent, le nez écrasé contre la vitre.
Ecrans digitaux publicitaires pour Zootopie, métro Concorde
Sept fausses publicités inspirées de l'univers du dessin animé se retrouvent sur les murs et sur les écrans numériques.
affiche publicitaire pelliculée pour Zootopie, métro Concorde et fausses publicités
affiche publicitaire pelliculée pour Zootopie, métro Concorde, fausse publicité "just zoo it"
affiche publicitaire pelliculée pour Zootopie, métro Concorde, le renard
affiche publicitaire pelliculée pour Zootopie, métro Concorde
affiche publicitaire pelliculée pour Zootopie, métro Concorde
affiche publicitaire pelliculée pour Zootopie, métro Concorde, les souris
Publicité Havas Media, Turn Right et Metrobus
Métro Concorde ligne 8, Paris
Du 4 au 17 février 2016
affiche publicitaire pelliculée pour Zootopie, métro Concorde
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"Je te vois", le pochoir posé sur une borne ne semble pas concerner les passants qui se hâtent sous la pluie.
"Je te vois", pochoir, quartier Tolbiac, Paris
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Accompagnées du mot-dièse #ParisWeLoveYou, les vitrines des Galeries Lafayette Haussmann exposent les nouvelles collections "Summer is coming". Le style est résolument joyeux pour vaincre la grisaille de l'hiver et la désaffection des touristes après les attentats. Aplats de couleurs franches et rayures, carrés, triangles, empruntent un peu à Mondrian ou à Buren, sans en garder la rigueur, pour mettre en scène la mode.
Chaussures Marc Jacobs, 145 € (chaque)
Nouvelle collection, Summer is coming
Galeries Lafayette, #ParisWeLoveYou
Des mannequins jaunes, verts ou rouges présentent les accessoires (sacs, chaussures, lunettes). Des mannequins sans tête portent les robes.
Nouvelle collection, Summer is coming
Galeries Lafayette, #ParisWeLoveYou
Les professionnels du tourisme, inquiets de la baisse de fréquentation à Paris après les attentats, ont crée le hashtag #ParisWeLoveYou avec un site collaboratif où chacun peut envoyer ses photos de Paris. Les photos seront ensuite exposées en mosaïque dans des lieux emblématiques de la Capitale, des lieux pas encore choisis.
Nouvelle collection, Summer is coming
Galeries Lafayette, #ParisWeLoveYou
Robe Carven, Nouvelle collection, Summer is coming
Galeries Lafayette, #ParisWeLoveYou
Nouvelle collection, Summer is coming
Galeries Lafayette, #ParisWeLoveYou
Nouvelle collection, Summer is coming
Galeries Lafayette, #ParisWeLoveYou
Nouvelle collection, Summer is coming
Galeries Lafayette, #ParisWeLoveYou
Ecran numérique, Nouvelle collection, Summer is coming
Galeries Lafayette, #ParisWeLoveYou
Ecran numérique, Nouvelle collection, Summer is coming
Galeries Lafayette, #ParisWeLoveYou
Nouvelle collection, Summer is coming
Galeries Lafayette, #ParisWeLoveYou
Galeries Lafayette
Boulevard Haussmann, Paris
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Comme dans un bizarre cabinet de curiosité où tout serait fabriqué et non collecté, Anselm Kiefer réalise une quarantaine de vitrines, « une accumulation de possibles », dans lesquelles il dispose des éléments épars, des fragments longtemps accumulés dans son atelier de l'Arsenal. Car Anselm Kiefer ne jette rien; ni restes de repas, ni jouets cassés, ni objets rongés, crevassés, décomposés:
"Quand je vois une connexion spirituelle entre deux éléments, ça me fait plaisir de les sortir et de jouer avec."
Der verlorene Buchstabe (la lettre perdue), détail, Anselm Kiefer
Selon le philosophe et spécialiste de la Kabbale Gerschom Scholem, l'alphabet divin primitif et la Torah reposent sur 23 lettres dont une seule est devenue invisible; le jour où cette lettre manquante réapparaîtra, les malheurs du monde cesseront
A la fin des années 80, Anselm Kiefer réalise à partir de ces rebuts des vitrines aujourd'hui exposées à Höpfingen. Pour l'exposition du Centre Pompidou il en crée de nouvelles.
Daphné, vitrine d'Anselm Kiefer
Selon la légende ovidienne, Daphné (dont le nom signifie laurier) est une nymphe d'une grande beauté qui se transforme en laurier-rose pour échapper aux avances d'Apollon qui la poursuit.
"AK - J'ai mis de l'ordre dans ma collection de choses, d'aquarelles, de toutes sortes de trucs. Cet ordre a mené aux vitrines ... en sélectionnant des objets qui réagissent l'un avec ou contre l'autre et me donnent des idées.
JMB - Pourquoi une vitrine plutôt qu'un tableau?
AK - La vitrine c'est comme un aperçu
JMB - Un trait d'esprit, une fulgurance?
AK - Un court-circuit. Lorsque je me promène dans mon atelier le soir, un peu fatigué, au moment où je ne travaille plus, je ne suis plus dans une logique, mais dans un autre monde: je vois mon atelier, je me promène dans mes cerveaux. Je vois les synapses ... Le vitrine c'est un détail ou un Ausschnitt ...
JMB - Un prélèvement, un extrait ...
AK - ... et les synapses se rencontrent. C'est ça oui.
Philemon + Baucis, vitrine d'Anselm Kiefer
Dans les Métamorphoses, Ovide relate le mythe de Philèmon et Baucis, un couple de Phrygiens pauvres ayant offert leur hospitalité à Zeus et à Hermès
JMB - Vous avez parlé de l'Arsenal comme d'un enfer, une relégation de rebuts de la société, d'objets éliminés et qui attendent une rédemption ...
AK - La rédemption c'est la découverte. Je découvre une chose, je découvre une autre chose, je les mets ensemble et parfois c'est une réussite parce que ça fonctionne. 1"
Philemon + Baucis, détail, Anselm Kiefer
Le verre des vitrines est obtenu à partir de la transformation du monoxyde de plomb où l’opacité du métal se transmute en transparence. Il y a donc une continuité entre le verre et le plomb qui scelle les vitrines. Organes anatomiques en plomb, objets de rebut, fougères, photographies, dessins, matériaux organiques s’y retrouvent piégés, tout juste sortis d’un « purgatoire ». Anselm Kiefer compare souvent ces vitrines à la putréfaction alchimique, premier stade de décomposition de la matière vile sur le chemin de la réalisation de la pierre philosophale.
Sur le verre de ces vitrines Anselm Kiefer griffonne le titre de la composition.
Philemon + Baucis, détail, Anselm Kiefer
Anselm Kiefer crée une poétique des ruines qui va des grands tableaux aux vitrines cerclées de plomb. Dans ces boîtes de verre, témoins de l'âge industriel et végétaux en voie de putréfaction, machines hors d'usage recouvertes de débris et feuilles jaunies, se mêlent. Les compositions enchâssées sont de mystérieuses évocations des mythes antiques ou de la Kabbale; passé et présent confondus.
vitrine d'Anselm Kiefer, détail
Daphné, détail, vitrine d'Anselm Kiefer
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Le bosquet du théâtre d'eau d'André Le Nôtre, entre le bosquet de l’Étoile et celui des Trois Fontaines, avait disparu après la tempête de 1999. Choisi après un concours international, Jean-Michel Othoniel et le paysagiste Louis Benech en ont recrée une version moderne en respectant le rythme ternaire voulu par Le Nôtre: trois espaces ovoïdes, trois sculptures-fontaines, des végétaux plantés en multiples de trois.
sculpture-fontaine de Jean-Michel Othoniel
Bosquet du théâtre d'eau, Versailles
Les Belles danses, les trois sculptures-fontaines d'Othoniel, sont composées d'arabesques dorées en perles de Murano. Elles s’inspirent directement des ballets donnés par Louis XIV et de l’Art de décrire la danse de Raoul-Auger Feuillet (1701). Othoniel ressuscite les pas du Roi dansant avec ses calligraphies de verre soufflé qui font écho aux entrelacs de buis des parterres de Versailles.
sculpture-fontaine de Jean-Michel Othoniel
Bosquet du théâtre d'eau, Versailles
Le théâtre d'eau de Jean-Michel Othoniel à... par PalagretPhotos et videos prises à l'arrêt des fontaines, permettant de mieux voir l'architecture des sculptures mais bien évidement les jeux d'eau sont essentiels à l'oeuvre.
sculpture-fontaine de Jean-Michel Othoniel
Bosquet du théâtre d'eau, Versailles
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Lumières cinétiques, saut dans un nuage, peintures pariétales vivantes pour la Nuit Blanche 2015, parcours Nord-Ouest. Ballade cahotique le long de la Petite ceinture désaffectée, de tunnel obscur en tunnel aveuglant. Il faisait doux ce soir là.
Parsec, installation de Joris Strijbos et Daan Johan
Nuit Blanche 2015, Petite ceinture, Paris
Nuit Blanche 2015, sur la Petite Ceinture... par PalagretDossier de presse:
Joris Strijbos et Daan Johan (collectif Macular)
PARSEC Installation
Tout à la fois machine organique, monstre tentaculaire et créature de science-fiction, Parsec est une installation cinétique de Joris Strijbos et Daan Johan. Dans la pénombre d’un site urbain interdit, seize bras dotés de leds et de générateurs de sons tournent frénétiquement autour d'un même axe, chaque rotation produisant des pulsations lumineuses et des sons répondant à un algorithme et à des boucles rétroactives. Le déplacement incessant des points lumineux et le bourdonnement sourd évoquent le comportement d'un essaim ou une machine futuriste menaçant et envahissant un espace qui rappelle les grottes originelles. Une oeuvre hypnotique et dérangeante qui invite à s’interroger sur la frontière, toujours plus ténue, qui sépare technologie et nature…
Accès depuis le parc Martin Luther-King en suivant la Petite Ceinture.
Macular, un collectif d'artistes néerlandais travaillant sur l'art, la science, la technologie et la perception.
Installation et performance de Stéphane Ricordel
Nuit Blanche 2015, Petite ceinture, Paris
Stéphane Ricordel
Nuage Installation / Performance
Dix mètres au-dessus de l'ancien chemin de fer de la Petite Ceinture, flotte un nuage. Installé sur cet élément à la fois réel et évanescent, solide et liquide, un homme accomplit un rêve d'enfant : sauter dans un nuage. Ignorant les frontières imposées par l'Homme et les murs qu'il construit, le nuage, immatériel et éphémère, se fait allégorie de nos désirs et de notre insatiable envie de conquête. L’homme agit quel qu’en soit les conséquences sur le cours de la nature. À quelle fin ?
Au croisement de la rue Belliard et de la villa Belliard
Installation de Michel Blazy
Nuit Blanche 2015, Petite ceinture, Paris
Michel Blazy
Sans titre Installation
Dans la pénombre d’un tunnel désaffecté de l'ancien chemin de fer de la Petite Ceinture, d’immenses formes organiques envahissent lentement les parois, formant des halos aux couleurs étranges. Véritable métaphore d'une vie organique qui prolifère en tout lieu, cette installation de Michel Blazy confronte la fragilité des apparences, qui changent tout au long de la nuit, et la rémanence du vivant, qui transmute l'espace : apparition, expansion, disparition, décrépitude des surfaces, évanescence des formes et transformation des matières... Dans cette interprétation d’une autre grotte Chauvet contemporaine, la vie semble renaître et avec elle l’espoir d’un autre monde.
Installation de Michel Blazy
Nuit Blanche 2015, Petite ceinture, Paris
Au croisement de la rue Belliard et de la villa Belliard
Nuit Blanche du 3 novembre 2015, Paris
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Dans la nuit du 2 au 3 décembre 2015, douze icebergs sont apparus devant le panthéon. Icewatch, l'oeuvre d'Olafur Eliasson, est disposé sur le pavé comme le cadran d'une horloge, un cadran polaire. Ces morceaux de Groenland nous alertent sur le réchauffement climatique. Les douze blocs fondent doucement sous la température encore automnale. Les enfants grattent la glace aux reflets bleutés et essayent de détacher un petit morceau de cette banquise parisienne qui contient des bulles d'air millénaires. Ils la goûtent aussi sous le regard inquiet des parents.
Icewatch, installation d'Olafur Eliasson, place du Panthéon, COP 21
«C'est de la neige compressée, or la neige est faite d'eau distillée, parfaitement pure. La glace en se formant emprisonne des bulles d'air, des “time capsules” qui nous donnent des indications précises sur la qualité de l'air et même sur sa chaleur. On peut ainsi lire dans l'épaisseur de la glace l'histoire des hommes. On voit ainsi apparaître dans les glaciers du Groënland des traces des premières pièces de monnaie en or et en argent fabriquées vers -560 avt JC en Lydie. On a donc la trace par la pollution atmosphérique de l'apparition de l'argent sur notre planète!» déclare le géologue Minik Rosing qui a travaillé avec Eliasson (1).
Icewatch, installation d'Olafur Eliasson, place du Panthéon, COP 21
Sur la façade du Panthéon quatre portraits de résistants par Ernest Pignon-Ernest:
Germaine Tillion, Geneviève de Gaulle-Anthonioz, Pierre Brossolette et Jean Zay
«Ce qui est beau, renchérit en artiste Olafur Eliasson, c'est de pouvoir ainsi toucher la glace. Ses aspérités ont été lissées par leur séjour dans la mer qui les a peu à peu érodées. Elle a une couleur extraordinaire qui fait rayonner la lumière de façon particulière et changeante. C'est à la fois d'une incroyable beauté et d'une incroyable poésie. Elle a aussi un son ... C'est toute une série de craquements profonds, une musique quasi surnaturelle.» (1)
Icewatch, installation d'Olafur Eliasson, place du Panthéon, COP 21
devant la mairie du Vè arrondissement
Installée dans le cadre de la COP 21, l'oeuvre d'Eliasson, est éphémère et disparaîtra plus ou moins vite, selon la température, la pluie et le vent. En environ cinq jours.
Icewatch, installation d'Olafur Eliasson, place du Panthéon, COP 21
Dénonçant le réchauffement climatique, cette installation a quand même déployé de gros moyens polluants, six gros camions remorque, pour faire venir la banquise du glacier de Nuuk jusqu'au pavé parisien, au sommet de la montagne Sainte Geneviève.
Icewatch, installation d'Olafur Eliasson, place du Panthéon, COP 21,
vers la rue Soufflot
Icewatch, installation d'Olafur Eliasson, place du Panthéon, COP 21
Icewatch, installation d'Olafur Eliasson, place du Panthéon, COP 21
Source:
in le Figaro
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Dans la halle du 104, des vitraux de Daniel Buren sont suspendus au plafond ou habillent les fenêtres rondes, dans le cadre de l'exposition Follia Continua.
Occuli et tondi, Daniel Buren, 104
Occuli et tondi, Daniel Buren, 104
Occuli et tondi, Daniel Buren, 104
Occuli et tondi, Daniel Buren, 104
Occuli et tondi, Daniel Buren, 104
"GALLERIA CONTINUA fête 25 ans d'accompagnement artistique et de partage. Des sous-sols aux hauteurs du CENTQUATRE-PARIS, près de 2000 m² d'exposition accueillent des œuvres monumentales ou intimes, d'artistes de renommée internationale ou plus émergents.
Avec notamment : Ai Weiwei, Kader Attia, Daniel Buren, Chen Zhen, Berlinde De Bruyckere, Antony Gormley, Mona Hatoum, Anish Kapoor, Michelangelo Pistoletto, Pascale Marthine Tayou..."
Follia Continua
du 26 septembre au 22 novembre 2015
Le Cent Quatre
5 rue Curial, Paris XIX
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